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giovedì 28 settembre 2017

Sezione Diritto Pubblico



Voting Rights and Redistricting in the United States
by Mark E. Rush (Editor)


 


This up-to-date collection of essays addresses key elements of the law and politics of voting rights: the Supreme Court's jurisprudence, the impact of the Voting Rights Act, and the opportunities for enhanced minority representation posed by alternative electoral systems. This volume, comprised of contributions by leading legal and political science practitioners in the field of voting rights, will be a valuable resource to experienced researchers and newcomers to the field. It includes current assessments of the intricacies of the Supreme Court's decisions, current research on the impact of the the Voting Rights Act on the various minority groups it purports to assist, and critical analysis of the use of alternative electoral systems.

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Voting Rights--and Wrongs: The Elusive Quest for Racially Fair Elections
by Abigail Thernstrom (Author), Juan Williams (Foreword)

The 1965 Voting Rights Act is the crown jewel of American civil rights legislation. Its passage marked the death knell of the Jim Crow South. But that was the beginning, not the end, of an important debate on race and representation in American democracy. When is the distribution of political power racially fair? Who counts as a representative of black and Hispanic interests? How we answer such questions shapes our politics and public policy in profound but often unrecognized ways. The actOs original aim was simple: Give African Americans the same political opportunity enjoyed by other citizens_the chance to vote, form political coalitions, and elect the candidates of their choice. But in the racist South, it soon became clear that access to the ballot would not, by itself, provide the political opportunity the statute promised. Most southern whites were unwilling to vote for black candidates, and southern states were ready to alter electoral systems to maintain white supremacy. In this provocative book, Abigail Thernstrom argues that southern resistance to black political power began a process by which the act was radically revised both for good and ill. Congress, the courts, and the Justice Department altered the statute to ensure the election of blacks and Hispanics to legislative bodies ranging from school boards and county councils to the U.S. Congress. Proportional racial representation_equality of results rather than mere equal opportunity_became the revised aim of the act. Blacks came to be treated as politically different_entitled to inequality in the form of a unique political privilege. Majority-minority districts that reserved seats for blacks and Hispanics succeeded in integrating southern politics. By now, however, those districts may perversely limit the potential power of black officeholders. OMax-blackO districts typically elect candidates to the left of most voters; those officeholders rarely win in majority-white settings. Such race-conscious districting discourages the development of centrist, Opost-racialO candidates like Barack Obama (who was defeated when he stood for Congress in one such district). The Voting Rights Act has become a period piece that today serves to keep most black legislators clustered on the sidelines of American politics_precisely the opposite of what its framers intended. A radically revised law would better serve the political interests of all Americans_minority and white voters alike.

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Droit administratif des biens
Jean-Marie Auby (Auteur)


Parmi les constructions du droit administratif, il en existe trois qui tournent spécialement autour du statut des biens publics.La première concerne le régi me juridique des biens appartenant à l'administration. Elle recouvre les questions relatives au domaine public et au domaine privé, aujourd'hui codifiées dans le nouveau Code général de la propriété des personnes publiques. La seconde concerne la manière dont l'administration construit, répare, entretient les ouvrages qui lui appartiennent et les responsabilités qu'elle encourt dans le cadre de ces activités. Elle englobe les questions relatives aux travaux et ouvrages publics et, plus particulièrement, aux marchés et concessions de travaux publics.La troisième concerne le pouvoir qu'a l'administration de prendre unilatéralement possession des biens qui sont nécessaires à la réalisation d'opérations d'utilité publique. Elle a trait aux mécanismes de l'expropriation.L'ouvrage décrit ces trois constructions en tenant compte des mutations importantes qui les affectent à l'époque contemporaine du fait de la montée des préoccupations de valorisation économique des biens publics, de l'enrichissement du droit administratif des contrats, notamment de ceux ayant un objet immobilier, des conséquences de l'application directe du droit communautaire sur la passation des contrats publics et de la Convention européenne des droits de l'homme sur le droit de l'expropriation, etc.Jean-Marie Auby, doyen et ancien président de l'Université de Bordeaux I, a été le fondateur de cet ouvrage.Pierre Bon est professeur à l'Université de Pau et des Pays de l'Adour.Jean-Bernard Auby est professeur de droit public à Sciences Po Paris, directeur de la chaire «Mutations de l'action publique et du droit public».Philippe Terneyre est professeur à l'Université de Pau et des Pays de l'Adour.Extrait du livre :LA QUESTION DU STATUT JURIDIQUE DES BIENS PUBLICSSECTION 1. L'ÉTENDUE DES PATRIMOINES PUBLICS1. Naissance des patrimoines publics - L'apparition des patrimoines publics est consubstantiellement liée à la construction de l'État et des institutions locales.Il y eut une contribution importante à l'émergence de l'institution étatique dans l'admission progressive d'une séparation entre les biens de la Couronne et les biens personnels du souverain. Le droit en vint à considérer que les biens de la Couronne, bien qu'appartenant aussi au souverain, étaient inaliénables parce que rattachés à une entité, un principe - le royaume, l'État -, dont chaque monarque particulier n'était qu'une incarnation temporaire.La règle d'inaliénabilité, conceptualisée dès le XIVe siècle, fut clairement formulée au XVIe siècle (édit de juin 1539, ordonnance de Moulins de février 1566), et considérée comme une loi fondamentale du royaume. Elle fut complétée au XVIIe siècle par un principe d'imprescriptibilité (édit d'août 1667).La constitution des patrimoines publics locaux a également accompagné la constitution historique des institutions locales. Lorsqu'à partir du XIIe siècle, les institutions communales réussirent à s'insérer dans le système féodal, elles purent acquérir ou édifier des biens (hôtels de ville, asiles pour les indigents ou les malades...). Quant aux biens «communaux», c'est-à-dire ces biens (forêts, pâturages...) sur lesquels les communautés d'habitants avaient des droits communs d'usage, ils furent, à la Révolution, attribués aux communes, tout en conservant un régime particulier préservant les droits collectifs des habitants.Extrait de l'introduction Fermer